François Bayrou a annoncé, à l’issue d’un comité interministériel sur l’immigration, que Paris donnait « quatre à six semaines » à Alger pour réadmettre une « liste d’urgence » de personnes expulsées du territoire.
L’accusé a revendiqué son engagement djihadiste, jeudi 27 février devant la cour d’assises spéciale de Paris, en estimant que le terrorisme était « l’arme du pauvre ». Il a, en revanche, refusé de reconnaître son rôle de geôlier en Syrie, tout comme son implication dans l’attentat du Musée juif de Bruxelles, pour lequel il a déjà été condamné.
Le CFPB, agence de protection financière des consommateurs mise en place aux Etats-Unis après la grande crise de 2008, a été particulièrement ciblé. Tout travail y a été gelé par son nouveau directeur, nommé par le président américain. Et ce n’est qu’un début.
A la suite de la censure du gouvernement Barnier, ces établissements de jeux expérimentaux avaient dû fermer au 1er janvier, entraînant la mise en activité partielle de près de 1 200 salariés. Ils rouvriront le 28 février ou le 1er mars, toujours sous statut expérimental.
Syndicats et patronat ouvrent jeudi, à la demande de François Bayrou, des négociations visant à amender le texte controversé. Une « initiative malheureuse », selon le président du Medef, qui considère, dans un entretien au « Monde », que les Français « s’étaient résignés à la réforme ». Et ne souhaite pas revenir sur l’âge de départ à 64 ans.
Cet Algérien de 37 ans a été mis en examen, notamment pour assassinat et tentatives d’assassinat commises sur personne dépositaire de l’autorité publique, en relation avec une entreprise terroriste. En situation irrégulière depuis son arrivée en France, en 2014, il était visé depuis 2024 par une obligation de quitter le territoire français.