Des journalistes collaborant avec l’AFP dénoncent des « contrats de prestataires », tandis que des correspondants s’inquiètent de leurs retraites, accusant l’entreprise d’avoir mal cotisé. L’agence défend, elle, une « clarification » pour les travailleurs indépendants, tout en démentant toute erreur pour ses titulaires.
Plusieurs groupes de presse (Prisma, Les Echos-Le Parisien, CMI), des quotidiens nationaux et régionaux ainsi que l’audiovisuel privé comme public (TF1, RMC-BFM, France Télévisions et Radio France) accusent Meta d’avoir profité de la période où eux-mêmes mettaient en place le consentement de leurs utilisateurs au recueil de leurs informations personnelles pour s’adonner à de la publicité ciblée.
Plusieurs anciens collègues du chirurgien accusé de viols et d’agressions sexuelles contre des centaines de malades, mineurs pour la plupart, condamné à quatre mois de prison avec sursis pour avoir téléchargé des images pédocriminelles en 2005, ont défilé à la barre. Certains avaient alerté, en vain, leur hiérarchie ou les autorités.
Le dispositif, lancé en avril après une expérimentation dans 18 départements, vise à mieux informer et orienter les personnes, sans s’ajouter aux services existants.
Alain Esquerre, porte-parole du collectif des victimes, évoque dans son ouvrage le climat de silence et d’impunité qui a régné des décennies face aux sévices perpétrés dans l’établissement catholique.
En reprenant le domaine familial, l’ancien musicien a vendu les fûts et modifié les assemblages pour s’affranchir du vin boisé typique de la région.